Quelques photos de mouettes, de goélands et notre visite au restaurant « Le Sens » où sévit la « machine de guerre »… le gagnant de Master Chef 2012, Ludovic Dumont, à Dunkerke…
Archives Mensuelles: février 2013
Encore un oiseaux… Tarin des aulnes (Carduelis spinus)
Joli petit oiseau dans les tons verts dont je cherche l’identification…
J’ai bien des Verdiers qui viennent aussi aux mangeoires mais leur bec est plus gros…
Vos avis, en attendant ceux des forums consultés, seront les bienvenus !!
Pendant que j’écrivais ce fil, d’autres visiteurs sont arrivés !!
Même famille ??
Chouette, ce forum est réactif…
http://www.beneluxnaturephoto.net/forumf/index.php?topic=142733.new;topicseen#new
Des Tarins des aulnes (Carduelis spinus) alors… Merciiiiiiiii
Trouvé sur wikipédia :
Le Tarin des aulnes (Carduelis spinus, Linnaeus, 1758) est une espèce de passereau, partiellement migrateur, de la famille des fringillidés.
Le tarin qui est l’un des plus petits fringillidés mesure environ 12 cm. L’adulte et le juvénile sont assez trapus, avec les ailes à bandes noires, et une barre alaire jaune vif. Le croupion est jaune verdâtre, et la queue noire avec des taches jaunes à la base. Le ventre et la poitrine est jaune très clair, tirant sur le blanc et pouvant être strié de noir. Son dos est vert grisâtre légèrement rayé, et les sous-caudales et les flancs sont fortement rayés de noir. La couleur verdâtre du plumage du tarin à certains endroits vient du mélange de plumes noires au milieu d’une majorité de plumes jaunes.
(Attention : le Tarin des aulnes peut être facilement confondu avec le Serin cini et le Venturon montagnard)
Le mâle à la calotte et le menton noirs, l’arrière-sourcil jaune et les joues verdâtres.
La femelle ne possède pas la calotte noire et est moins bariolée, tirant plus vers le brun-gris surtout sur le dos, mais est plus blanche sur le ventre. Elle est beaucoup plus rayée à la poitrine et aux flancs que le mâle.
Quant au juvénile ses rayures sont encore plus accentuées que celles de l’adulte, et sont aspect général est plus brun.
Les tarins sont tellement discrets pendant la période de reproduction, que dans la mythologie germanique, une vieille légende disait que ces oiseaux cachaient une pierre magique dans leur nid ce qui les rendait invisibles… (J’adore !!)
Merci à Windels pour sa confirmation du Tarin des aulnes !!
Le 04 mars… toujours là !
Mes premières forestières…
Fait pas chaud… 5°… les étangs (de Groenendael) sont encore, en partie gelés !
J’ai quand même été faire le tour des quelques poubelles forestières (en bois) que je surveille régulièrement… C’est habituellement là que je retrouve les « araignées-citroën », Anyphaena accentuata, qui gravitent généralement sur les buissons et les arbres, à l’entrée et sortie de l’hiver… Elles n’ont donc pas dérogé à la règle !!
Un mâle…
Une femelle…
et encore un beau mâle…
J’y ai aussi vu une Metellina merianae… habituellement orbitèle mais qui se protégeait encore du froid, sans doute !
J’en ai profité aussi pour photographier ces volatiles que je dois encore identifier…
Voilà… C’est identifié… Ce sont des ouettes d’Egypte – Alopochen aegyptiacus… (Merci à Kaki du forum Papillons & Jardins et à Beneluxnaturephoto.net)
Les « citroën » aiment l’eau – Anyphaena accentuata
Cette petite « araignée-citroën » juvénile (4mm), Anyphaena accentuata, appelée comme cela en language populaire à cause des deux chevrons qu’elle arbore sur son abdomen, est venue me rendre visite à l’intérieur…
Comme pour toutes les araignées que je capture à l’intérieur (ici dans ma cuisine), elle a eu droit à sa goutte d’eau et à sa scéance photo avant de retrouver sa liberté sur un arbuste de mon jardin…
4 mm, une femelle juvénile !
Oui, oui… elle boit !
Saint Valentin… des Pinsons !
Ben oui, il gèle et il y a de la neige partout… J’ai donc choisi un couple d’oiseaux !!
C’est bien une femelle et un mâle Pinson mais à gauche un mâle Pinson des arbres (Fringilla coelebs) et à droite une femelle Pinson du nord…(Fringilla montifringilla)
Enfin, c’est ce que je pense… J’attends la confirmation !!
La femelle Pinson du nord…

Un loup dans mon couloir… Pardosa amentata
Une heure du mat… dans mon hall, une petite araignée s’enfuit à toutes jambes !
Comme j’ai toujours un récipient en poche et malgré sa rapidité, j’ai pu lui offrir une scéance photo !
La première chose que je fais quand j’attape une araignée, surtout à l’intérieur, c’est de lui offrir une goutte d’eau… et souvent elle se précipite dessus pour boire !
Cette araignée-loup (Lycosidae), Pardosa (vraisemblablement amentata… très présente dans mon jardin) n’y pas dérogé !
La voici sur la goutte d’eau…
C’est ensuite un véritable plaisir de la voir se pourlècher les pattes !!
L’araignée de ma voiture – Neriene peltata
Une minuscule araignée, 3mm de corps, arpentait le plafond de ma voiture… comme j’ai toujours un petit pot en plastic en poche, au cas où et il m’a déjà bien servi, le volant d’une main et le pot dans l’autre, je l’ai attrapé en conduisant… 🙂
Une jolie femelle juvénile Neriene peltata…
Avant de lui rendre sa liberté, comme d’habitude, elle a eu droit à sa scéance photos… Comme je ne savais pas depuis combien de temps elle se baladait dans la voiture, je lui ai présenté un bout d’ouate mouillé et elle s’est immédiatement dirigé dessus !!
La taille…
Sluurp…
Envenimation…
Sur un forum que je consulte régulièrement, j’ai trouvé cette description d’une envenimation par une Zoropsis spinimana :
« Je me permets d’apporter quelques précisions supplémentaires sur ces commentaires car depuis hier je peux vous assurer que si (comme je l’ai écrit plus haut) la morsure du mâle ne pénètre pas la peau, la femelle , elle, le fait quand elle se sent attaquée.
Je me suis en effet bien fait mordre hier matin dans mon jardin par une Zoropsis spinimana femelle adulte qui était en hibernation sous le couvercle du composteur où elle s’était constituée une toile de protection. Quand j’ai voulu la mettre dans une boite (pour l’observer de plus près) celle ci a sauté et m’a donc mordu sur la zone pulpaire péri – unguéale externe de l’index gauche. J’ai tout de suite consulté mon médecin traitant préféré (bibi, en l’occurrence ) qui m’a pris en urgence bien sûr !
J’ai pensé que cela en intéresserait peut être quelques uns de savoir ce que j’ai alors éprouvé comme sensations.
Je vous relate donc ici (en exclusivité ) les symptômes ressentis après cette morsure par madame « Zorro » ! :
-Petit saignement au point de morsure (que j’ai augmenté par pression pour diminuer le risque de contamination microbienne, et ensuite toujours dans le même but : trempette du doigt dans du Dakin dilué)
– douleur « cuisante » au point de morsure, avec sensation d’engourdissement et démangeaisons (tout à fait supportables) s’étendant jusqu’au au pli du coude sur la partie antéro- externe de la main et de l’avant-bras gauche
-léger oedeme et rougeur de l’index gauche
-vague impression d’être « dans les vap. », mais sans modification notoire du pouls ni de la pression artérielle
Tout ceci est rentré spontanément dans l’ordre en 40 minutes env., sans séquelles particulières.
Etant vacciné contre le tétanos je n’ai pas vu la nécessité d’aller aux urgences pour d’autres mesures prophylactiques éventuelles »
Koen Van Keer (ARABEL), que je consulte régulièrement pour les détermination d’araignée ajoute à ce témoignage :
« J’espère que ce sera tout que la personne va ressentir, car parfois il y a des effets retardés d’un ou de plusieurs jours. »
Encore un fois, l’araignée ne mordera que si elle se sent en danger, que si on essaye de la manipuler… en temps normal elle fuit et si elle doit mordre, c’est un fois sur deux « à sec » !
Rien de vraiment dangereux dans nos régions !!